Promotion 2000
J’ai intégré l’IUT informatique de Clermont-Fd, suivi la filière Systèmes Industriels qui à l’époque était plus orientée poursuite d’études. J’ai donc intégré l’ISIMA sur dossier.
Filière F1 (micro-électronique à l’époque)
J’ai effectué mon stage de 2ème année à l’étranger à l’université d’Oklahoma (USA) grâce aux échanges réguliers établis entre l’Université de Norman et l’Université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand.
Mon stage de 3ème année a été effectué dans la société NetLine (conception de routeurs multi-protocoles) et a débouché sur une embauche en CDI après les 3 premiers mois.
Oui, mon Stage de seconde année.
J’ai suivi la filière F1 (micro-électronique) et ai trouvé un emploi totalement en adéquation avec mon orientation de formation dans la société Netline où je faisais de la conception hardware et de systèmes embarqués. Cette entreprise ayant fermée, il faut reconnaitre que cette spécialité n’offre pas beaucoup de débouchés dans notre région. Je me suis tourné vers des métiers liés au développement et conduites de projets, ce en quoi la formation ISIMA est parfaite, quelle que soit la filière choisie. Maintenant que je suis en poste dans l’infrastructure, la formation F1 m’apporte énormément dans la compréhension rapide des spécificités techniques de chaque système étudié.
Une formation généraliste de qualité touchant les métiers du développement logiciel et une formation spécialisée (par filière) pointue pouvant mener vers les métiers d’expertise/architecture. Sous un angle totalement différent, je constate que l’ISIMA est un outil régional permettant d’attirer en auvergne des talents. Certains restent après l’école dans des entreprises locales, d’autres montent des sociétés ici bien que venant d’autres régions et surtout, nombreux sont ceux qui souhaitent quitter Paris pensant à l’Auvergne une fois expérimentés.
L’école n’a plus rien à voir avec celle que j’ai connu : elle était constituée à l’époque de préfabriqués et très peu connue, y compris localement. Maintenant elle dispose de l’espace et des moyens adaptés à son niveau. Son nom est connu et ses diplômés sont reconnus, au moins sur le marché local. Dans le même temps, elle a su garder son esprit GeeK, ajouter une nouvelle filière et aligner les autres sur les évolutions du marché de l’emploi et les technologies nouvelles.
L’ISIMA souffre du manque et lien et d’entraide entre les anciens, hors une école peut tirer beaucoup de valeur de son réseau. Que ce soit pour la recherche d’un premier emploi ou pour un changement de poste, faire appel à son réseau est un atout. Le rôle d’Anelis est de créer ce lien entre des ingénieurs qui, bien que n’ayant pas été à l’école en même temps, ont en commun beaucoup de choses. Trouver un poste de qualité, s’intégrer dans une nouvelle entreprise n’est pas toujours chose facile, mais trouver en interne des contacts de confiance peut accélérer les choses. Il y a maintenant beaucoup d’anciens Zz managers dans les entreprises, informés des postes à pourvoir et ayant une connaissance détaillée des entreprises, il faut que les jeunes puissent en profiter, au travers des liens avec l’école et du réseau que représente Anelis.